Début septembre, derrière la poste de Vichy, un Tattoo Shop a ouvert. David Senneret, le tatoueur du salon, n’a pas attendu avant d’avoir ses premiers clients et affiche complet.
Début septembre, le Puppets Tattoo a ouvert ses portes. Situé près de la poste à Vichy, le salon de tatouage puise son identité dans le groupe de rock de son gérant : les Fool Puppets. Plongé dans cet univers rock et pop culture, le salon est encore en développement, mais déjà assailli par les demandes de tatouages.

Le shop profite d’une belle devanture, mais surtout d’un bon emplacement : juste à côté du bar The Pub, derrière la rue de Paris. Une charte graphique liée au salon permet aussi son identification, un atout pour David. (Photo L’Effervescent / Antoine Clement)

Le salon est ouvert du mardi au samedi de 10h à 19h, mais il faudra prendre rendez-vous au préalable si vous voulez vous faire tatouer entre 12h et 14h. (Photo L’Effervescent / Antoine Clement)

Posé sur le mur, le logo du salon, designé spécialement par David, apporte une touche d’authenticité au lieu. Cette identité permet au tatoueur de se démarquer et de se créer un univers singulier. (Photo L’Effervescent / Antoine Clement)

Fraîchement arrivé dans ces locaux, le salon n’a pas encore pu être décoré comme David le souhaiterait. Il compte “décorer au maximum” cet espace de travail “avec une identité plus rock et pop-culture”, explique le tatoueur. (Photo L’Effervescent / Antoine Clement)

Plus qu’un simple salon de tatouage, Puppets Tattoo est aussi “le shop du groupe de rock dont je fais partie : Fool Puppets”, explique David. La décoration du lieu est en fait une extension de l’image du groupe et un moyen de se faire connaître. (Photo L’Effervescent / Antoine Clement)

Les sweats du groupe sont d’ailleurs exposés dans le salon de tatouage. La marque rock du groupe imprègne entièrement les lieux. Un style qui rythme d’ailleurs les séances de David, bercées par les mélodies de Linkin Park. (Photo L’Effervescent / Antoine Clement)

David Senneret est à l’aise avec tous les styles de tatouages, des représentations abstraites jusqu’aux pétales de fleurs détaillés. (Photo L’Effervescent / Antoine Clement)

Les stencils qu’utilise David sont très importants pour pouvoir tatouer. Ce sont des bouts de papiers très fins sur lesquels le tatouage est dessiné. Il suffit de les coller sur la peau et il ne reste qu’à repasser sur les lignes avec l’aiguille. (Photo L’Effervescent / Antoine Clement)

Le stencil est posé, le bras est bien éclairé, le matériel est nettoyé et prêt à l’usage, le tatoueur est installé : la séance peut commencer. (Photo L’Effervescent / Antoine Clement)

Cette séance est la première pour cette jeune femme de 18 ans, mais pas des moindres. Une séance de deux heures pour commencer à remplir son bras de roses et de feuillages. Un premier tatouage ambitieux sur lequel David va devoir passer plusieurs séances, tant la pièce est massive. (Photo L’Effervescent / Antoine Clement)

À mesure que la séance avance, la première rose commence à apparaître. L’encre va venir s’incruster sous la peau lorsque l’aiguille va s’y enfoncer. David porte des gants et tout son matériel est stérilisé avant la séance : l’hygiène doit être irréprochable pour que le tatouage ne s’infecte pas. “Je fais très attention à ça. C’est l’image du shop qui est en jeu”, assure l’artiste. (Photo L’Effervescent / Antoine Clement)

Malgré les douleurs que peut procurer un tatouage, l’ambiance reste décontractée. David n’hésite pas à discuter avec ses clients pour que l’atmosphère reste détendue. (Photo L’Effervescent / Antoine Clement)

Pour une plus grande tranquillité, David a installé des cloisons pour séparer l’entrée du salon et sa banquette de tatouage. La séance se fait dans la plus grande intimité, par respect pour les clients. (Photo L’Effervescent / Antoine Clement)

Le salon propose aussi des “flashs” à ses clients : des petits tatouages de l’univers du tatoueur pré-dessinés qui sont, en général, moins chers qu’une pièce dessinée à la demande d’un client. (Photo L’Effervescent / Antoine Clement)

Pour Noël, David a décidé de mettre en vente des chèques-cadeaux. Un bon moyen de se faire offrir un tatouage pour les fêtes ou de faire plaisir à une personne qui rêve de s’en faire un. Les chèques-cadeaux sont aussi une promotion de -20 % : pour un bon de 100 euros, il faudra débourser 80 euros. (Photo L’Effervescent / Antoine Clement)
Antoine Clement
Catégories :Vichy
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