En 1972, le dernier puits de mines ferme. À Saint-Étienne, c’est la fin d’une époque et le début d’une nouvelle ère. La transition sera longue et douloureuse pour une ville qui n’avait connu que ça.
Éric Bordat, responsable du musée de la mine de Saint-Étienne, revient sur le passé minier de la ville. Partagée entre la honte et la fierté, « la ville noire » souhaite, avec ce musée, porter les Stéphanois sur les traces de leurs ancêtres. Chaque année, 55 000 visiteurs viennent plonger dans l’histoire des 180 puis de mines stéphanois. Si aujourd’hui la ville est tournée vers le design, tout n’a pas toujours été aussi beau.
Florémie Blanc
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