PODCAST. “Nous, musulmanes et féministes” : reportage en Mauritanie

En France, le port du voile est une notion entourée de clichés, de stéréotypes souvent nourris par une méconnaissance de ce qu’il signifie réellement pour les femmes qui le portent. Notre journaliste Lison Bourgeois est allée à la rencontre de deux de ces femmes, pour qui la religion musulmane ne signifie aucunement soumission.

Direction la Mauritanie, au Nord-Ouest de l’Afrique. Un pays de 4 millions d’habitants très pauvre et où les inégalités règnent. Une zone minée par les divisions ethniques. Là où le droit des femmes est un combat à mener au quotidien. La posture de la femme en Mauritanie reste, encore trop souvent, précaire et dangereuse. Mais dans ce podcast, nous avons voulu donner la parole à ces femmes, musulmanes et féministes, pour montrer une autre vision de l’islam. Loin des clichés et stéréotypes encore ancrés en France, Tako Diagana et Houleye Kane sont la preuve vivante qu’islam et féminisme ne sont pas incompatibles.

Étalage de légumes lors d'un marché à Atar, ville mauritanienne au milieu du désert. Le 26 décembre 2019. Crédit : Lison Bourgeois. Retouche : Marie Solvignon.

Étalage de légumes lors d’un marché à Atar, ville mauritanienne au milieu du désert, le 26 décembre 2019. Crédit : Lison Bourgeois. Retouche : Marie Solvignon.

Port de Nouakchott, capitale de la Mauritanie. Le 23 décembre 2019. Crédit : Lison Bourgeois. Retouche : Marie Solvignon.

Port de Nouakchott, capitale de la Mauritanie, le 23 décembre 2019. Crédit : Lison Bourgeois. Retouche : Marie Solvignon.

Célébration d'un mariage à Nouakchott On retrouve la culture de la tenue, de la couleur et du tissu même dans ces événements familiaux. Le 19 décembre 2019. Crédit : Lison Bourgeois. Retouche : Marie Solvignon.

Célébration d’un mariage à Nouakchott On retrouve la culture de la tenue, de la couleur et du tissu même dans ces événements familiaux, le 19 décembre 2019. Crédit : Lison Bourgeois. Retouche : Marie Solvignon.

Tempête de sable sur la route vers Nouadhibou. Ciel blanc, grand vent et sable fin... Hommes et Femmes sont souvent entièrement couverts pour se protéger dans le désert. Le 2 Janvier 2019. Crédit : Lison Bourgeois. Retouche : Marie Solvignon.

Tempête de sable sur la route vers Nouadhibou. Ciel blanc, grand vent et sable fin… Hommes et Femmes sont souvent entièrement couverts pour se protéger dans le désert, le 2 Janvier 2019. Crédit : Lison Bourgeois. Retouche : Marie Solvignon.

Jeunes femmes mauritaniennes lors d'une fête familiale en Mauritanie. Le 20 Décembre 2019 à Nouakchott. Crédit : Lison Bourgeois. Retouche : Marie Solvignon.

Jeunes femmes mauritaniennes lors d’une fête familiale en Mauritanie, le 20 Décembre 2019 à Nouakchott. Crédit : Lison Bourgeois. Retouche : Marie Solvignon.

Scène de marché à Nouadhibou. Même en ville les hommes sont aussi couverts pour se protéger du vent, du sable et du soleil. Le 19 Décembre 2019. Crédit : Lison Bourgeois. Retouche : Marie Solvignon.

Scène de marché à Nouadhibou. Même en ville les hommes sont aussi couverts pour se protéger du vent, du sable et du soleil, le 19 Décembre 2019. Crédit : Lison Bourgeois. Retouche : Marie Solvignon.

Le rose est la couleur la plus portée par les femmes mauritaniennes. Une couleur éclatante qui se décline en beaucoup de tissus différents. Le 19 Décembre 2019 à Nouadhibou. Crédit : Lison Bourgeois. Retouche : Marie Solvignon.

Le rose est la couleur la plus portée par les femmes mauritaniennes. Une couleur éclatante qui se décline en beaucoup de tissus différents, le 19 Décembre 2019 à Nouadhibou. Crédit : Lison Bourgeois. Retouche : Marie Solvignon.

Deux femmes portant le voile rentrent du marché à Nouadhibou, Le 20 décembre 2019. Crédit : Lison Bourgeois. Retouche : Marie Solvignon.

Deux femmes portant le voile rentrent du marché à Nouadhibou, le 20 décembre 2019. Crédit : Lison Bourgeois. Retouche : Marie Solvignon.

Les futures mariées mauritaniennes doivent passer plusieurs jours à se faire tatouer leur corps au henné. Le 6 Janvier 2020 à Nouakchott. Crédit : Lison Bourgeois. Retouche : Marie Solvignon.

Les futures mariées mauritaniennes doivent passer plusieurs jours à se faire tatouer leur corps au henné, le 6 Janvier 2020 à Nouakchott. Crédit : Lison Bourgeois. Retouche : Marie Solvignon.

 

 

 

Les mains, miroir d'élégance et de féminité, sont souvent tatouées au henné. Même les plus jeunes femmes respectent la tradition. Le 6 Janvier 2020 à Nouakchott. Crédit : Lison Bourgeois. Retouche : Marie Solvignon.

Les mains, miroir d’élégance et de féminité, sont souvent tatouées au henné. Même les plus jeunes femmes respectent la tradition, le 6 Janvier 2020 à Nouakchott. Crédit : Lison Bourgeois. Retouche : Marie Solvignon.

Lison Bourgeois, Marie Solvignon, Morgan Kervestin, Tom Kerkour, Naël Ranjon et Sidney Malfroy



Catégories :En Images

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